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Question de plan... et fidélité aux sources !

Pour "L'Incendie", dans son démarrage actuel, j'ai revu et relu de nombreuses hypothèses théoriques concernant le roman (et non la traduction, bien sûr). On y parle de la nécessité de la structure, du plan, du "travail en amont", mais aussi de la liberté créative de l'auteur, ou de la logique interne des personnage que l'on crée, et qui - forcément - amènent à certaines conclusions logiques, pour peu que l'on prenne soin de suivre leur développement sincèrement. En vérité, pourrait-on dire. Sans les influencer de manière illogique, ou autoritaire. Le hasard ou la nécessité. Le côté "laborieux" et scolaire, contre l'inspiration. Je ne me hasarderais pas à trancher. C'est impossible. Chacun définit sa voie, son chemin, ses outils. Avec ici, la difficulté d'être face à un enchevêtrement de séquences à traduire, certes, mais aussi à réinterpréter pour une meilleure compréhension. Pour plus de fluidité, car le langage est ancien, parfois. Au point où j'en suis, j'ai remarqué que la structure, les personnages, les thématiques, les symboliques, fournissaient de l'énergie à l'imaginaire, et m'offrait des libertés de création intéressantes quant aux mots et aux couleurs à utiliser. En quelque sorte, cela fonctionne comme un matériau qui permet aux personnages et aux événements du récit de se construire. En suivant le fil que l'histoire déroule, je touche à la structure originelle. Mais les couleurs et les parfums ne sont pas semblables, forcément, et similaires d'une langue à l'autre. A suivre, sans doute...

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